mardi 27 décembre 2016

Harry Potter et la chambre des secrets de J.K. Rowling

RESUME: Une rentrée fracassante en voiture volante, une étrange malédiction qui s'abat sur les élèves, cette deuxième année à l'école des sorciers ne s'annonce pas de tout repos ! Entre les cours de potion magique, les matches de Quidditch et les combats de mauvais sorts, Harry trouvera-t-il le temps de percer le mystère de la Chambre des Secrets ? Un livre magique pour sorciers confirmés.

MON AVIS:  2e tome des aventures du sorcier a lunette qui a marqué des générations de personnes, au temps en film qu'en livres.
Pour ma part, ses livres sont une première lecture comme je le disais dans le premier tome. De plus pour celui ci et ceux qui vont suivre, ayant vu les films il y'a très longtemps, je n'en avais plus de souvenir a part une vague idée générale sur certains fait et encore très flou. Cela m'a permis de vraiment le découvrir et j'en suis ravie.
Je continue donc sur ma lancée de lire les tomes de HP! Et je dois avoué que c'est un réelle plaisir de pouvoir retrouvé tout le petit monde de Harry. Quel épopée! L'auteur a vraiment de l'imagination. Mêler aussi habilement du fantasy avec aussi quelques part une énigme. ( mais qui a ouvert cette chambre des secrets?) Ce 2e tome est pleins de rebondissement, on sursaute a certains passage du livre, tellement le mystère est présent sur presque tout le bouquin. De plus on en apprend plus sur voldemort, sur serpentard. Et on a quelques situations cocasse, comme la lettre que reçoit Ron, la voiture volante etc.. La fin peut faire un peu froid dans le dos, mais lorsqu'on tourne les pages, on pousse un grand ouf de soulagement, même si on sait que cela devrait bien se finir, on reste suspendu aux pages et ça défile. Moi perso, j'ai lu les 4 derniers chapitres d'une traite.
Ce tome est a la hauteur du premier et comme je le disais plus haut, je le lis avec un œil neuf, ne me rappelant pratiquement plus des films. Et je suis enchanté de pouvoir le lire sans avoir des images du film qui me viennent, comme pour le premier tome, ce qui, il faut bien le dire, gâche un peu le plaisir. Vivement la suite

dimanche 18 décembre 2016

Ceux qui tombent de Michael Connelly

RESUME: Bosch vient de décrocher un sursis de trois ans avant d’être mis à la retraite d’office lorsqu’il se voit confier un cold case datant de 1989. Viol suivi de meurtre, ADN, antécédents judiciaires et profil psychologique, tout incrimine un certain Clayton Pell. Un suspect… qui n’aurait eu que huit ans au moment des faits. Erreur du labo ou faute impardonnable de deux inspecteurs ? Les conséquences de ce cafouillage s’annonçant monumentales, Bosch se met immédiatement au travail lorsqu’il est appelé sur une scène de crime. Un homme se serait jeté du septième étage du célèbre hôtel de Los Angeles, le Château Marmont. La victime, George Irving, est le fils d’un conseiller municipal très influent à L.A., un homme qui n’a jamais porté Bosch dans son cœur. Pourquoi exige-t-il que ce soit lui qui mène l’enquête ?
Deux intrigues menées en parallèle, l’une révélant la corruption de politiciens obnubilés par leurs profits, l’autre la monstruosité de prédateurs sexuels, et une description de Los Angeles qui fait froid dans le dos.

MON AVIS: Comme je le dis a chaque roman de Connelly, c'est un plaisir de retrouvé sa plume et son personnage fétiche de Bosch. On le retrouve donc en grande forme, toujours pas prêt a prendre sa retraite. Cela fait un bout de temps que je le suis et j'adore son coté intègre, toujours foi en ses méthodes, qui aime et son métier et cela se sent. Il est un flic a l'ancienne qui n'arrive pas a passé a la modernité sauf pour certaine chose mais qui travaille avec l'ancien matériel. On le retrouve donc, dans son secteur des affaires non résolues, ou il est au prise avec le meurtre d'une jeune fille. Enfin un indice peut relancé le dossier, a savoir une analyse de sang avec un résultat ADN.
Comme si cela ne suffisait pas, on l'appelle pour une autre affaire, une scène de crime ou un type se serait jeté par la fenêtre. Le gars en question n'est autre que le fils de Irving, ancien chef de Bosch devenu conseiller municipal.Comme d'habitude, quand on donne une affaire a Bosch, il y plante les dents et ne lâche plus le morceau.
Du coup pendant tout le livre, on jongle avec Bosch entre les deux enquêtes. Il n'y a pas de temps mort et l'auteur sait nous emmené ou il veut sans nous embrouillé pour autant. Les pages défilent a une allure incroyable et on est vraiment dans l'histoire.
De plus, l'auteur développe le personnage de sa fille Maddy qui a beaucoup muri depuis les neufs dragons. Le caractère de Bosch c'est aussi assoupli avec le temps, il est moins impulsif, plus mure (normal vu l'âge me direz vous). Il a un coté plus appliqué, mais aussi un peu solitaire car il en fait voir de toute les couleurs a son coéquipier Chu. C'est un policier classique, avec beaucoup de suspens, les deux affaires sont mené de front sans qu'on s'emmêle les pinceaux ou qu'on se perdent dans tout un tas de détail inutile. Connelly sait ou il va, on en apprend beaucoup sur le système de police américain, de la justice on le suit et on aime ça.

dimanche 11 décembre 2016

Juste une ombre de Karine giebel

RESUME: Tu te croyais forte. Invincible. Installée sur ton piédestal, tu imaginais pouvoir régenter le monde. Tu manipules ? Tu deviendras une proie. Tu domines ? Tu deviendras une esclave. Tu mènes une vie normale, banale, plutôt enviable. Tu as su t'imposer dans ce monde, y trouver ta place. Et puis un jour... Un jour, tu te retournes et tu vois une ombre derrière toi. À partir de ce jour-là, elle te poursuit. Sans relâche. Juste une ombre. Sans visage, sans nom, sans mobile déclaré. On te suit dans la rue, on ouvre ton courrier, on ferme tes fenêtres. On t'observe jusque dans les moments les plus intimes. Les flics te conseillent d'aller consulter un psychiatre. Tes amis s'écartent de toi. Personne ne te comprend, personne ne peut t'aider. Tu es seule. Et l'ombre est toujours là. Dans ta vie, dans ton dos. Ou seulement dans ta tête ? Le temps que tu comprennes, il sera peut-être trop tard... Tu commandes ? Apprends l'obéissance. Tu méprises ? Apprends le respect. Tu veux vivre ? Meurs en silence...

MON AVIS: 3eme livre de cette auteure que je lis. Ce thriller est a coupé le souffle dans tous les sens du terme. Il est plus psychologique qu'autre chose!
On suit Cloé qui est la proie ou croit être la proie d'un type? qui l'observe et la traque jours et nuit. Je dois avoué qu'au début j'ai détesté Cloé. Pourquoi?  Parce qu'elle est pourrit jusqu'à la moelle. Il y'a qu'elle, tout le monde est bien en dessous d'elle, elle est la meilleure en tout, la plus belle, la plus intelligente. Elle est méchante avec tout le monde. Bref! Et puis en lisant ce qui lui arrive, je me disais "bien fait pour elle" Pour finalement la prendre en pitié et presque la trouver plus humaine. Je dirais pas que je l'ai apprécié par la suite, mais je me suis dit " la pauvre"!
On suit en parallèle, Alex commandant de police qui voit sa vie partir en cacahouète. Lui c'est l'inverse, malgré sa façon d'être avec tout le monde, je l'ai apprécié tout de suite. C'est un écorché vif, on sent qu'il y'a quelque chose qui le bouffe de l'intérieur et on comprend le pourquoi en le suivant. Ses deux personnages vont se croiser et s'allier pour formé un duo dans cette chasse. Ce livre est bluffant de bout en bout. A chaque page, on se demande ce qui va se passé. Il y'a beaucoup de questions dans se livre et les réponses ne sont jamais de suite, ce qui nous pousse a tourné les pages avec avidité pour tenté de trouvé ses réponses!!
On se demande ce qui va arrivé, qui est l'ombre, est ce qu'elle existe? L'auteure nous pousse plus loin dans nos retranchement, tire magnifiquement les ficelles, nous donne de fausse pistes, comme de faux espoirs et ça c'est magistral! La qualité de ce livre réside dans tout ce que je viens de cité plus haut. On finit par se retourné nous même pour voir si quelqu'un ne nous suit pas et on se demande que ferions nous si cela nous arrivait.
Et si....

Ce livre a été lu dans le cadre du challenge de la licorne.

vendredi 2 décembre 2016

L'allée du roi de Françoise chandernagor.

RESUME: "Je ne mets point de bornes à mes désirs", disait celle qui fut presque reine de France... De sa naissance dans une prison de Niort à sa mort dans le doux asile de Saint-Cyr, de l'obscure pauvreté de son enfance antillaise à la magnificience de la Cour, de la couche d'un poète infirme et libertin à celle du Roi-Soleil, de la compagnie joyeuse de Ninon de Lenclos et de ses amants au partis de dévotion de l'âge mûr, quel roman que cette vie!
A partir d'une documentation consdérable puisée aux sources les plus sûres et en recourant aux écrits, souvent inédits de la Marquise de Maintenon, Françoise Chandernagor a su restituer, à travers des mémoires apocryphes qui ont le tour et la séduction de la langue du XVIIe siècle, le vrai visage d'une femme méconnue, témoin sans pareil d'une fasciante époque.

MON AVIS: J'ai connu l'auteur par le biais de l'émission secrets d'histoire ou ils ont fait un sujet sur Mme de Maintenon mais aussi d'autres sujets. Ce livre est extrêmement bien écrit et très détaillé. On sent que l'auteur n' a pas écrit son livre  avec la biographie trouvé sur Wikipédia. Elle a du prendre son temps, se documenté, pour être le plus dans le réel possible. Elle retrace donc par la bouche même de La marquise de Maintenon née Françoise d'Aubigné sa vie de sa naissance a sa mort en son cher Saint Cyr en 1719.
Pour cela, elle c'est servis de ce qui restait de la correspondance de la marquise, car celle ci a tout brulé avant sa mort. Quelle vie a eu cette femme !! Elle est devenue la 2e épouse du plus grand roi d'Europe de l'époque. Pourtant, en lisant ce livre et en tournant les pages, je me suis demandé si elle avait été heureuse auprès de lui, car je trouve qu'il avait l'air très égoïste. Ce livre est long a lire car comme je l'ai dit plus haut très détaillé. Mais cela ne m'a pas gêné car le style de l'auteur fait passé cela sans problème. J'ai mis un moment a lire ce livre, plus de deux semaines, pas parce que je n'aimais pas, mais parce qu'il est très dense a lire et que je voulais pas en perdre une miette. Certains passages, sont quand même un peu ennuyeux mais dés qu'on entre dans la partie ou elle est la cour, cela passe tout seul, sans être indigeste. Un livre que j'ai beaucoup aimé et que je recommande chaudement. Ce livre retrace juste la vie de Mme de Maintenon, ni plus ni moins.

dimanche 27 novembre 2016

C'est Dimanche, on visite...

Et voici la fin du mois et le rendez vous de c'est Dimanche, on visite.. Comme vous le savez, c'est un rendez vous mensuel ou je vous emmène visité un lieu chargé d'histoire ou d'architecture, un trésor de notre patrimoine.

Ce mois ci, je tiens a vous emmené au porte de Paris, dans la ville de Chantilly pour la visite de son célèbre château. Et de faire la connaissance du duc d'Aumale, fils de Louis Philippe, dernier roi des Français. 

Pour démarré cette visite, comme d'habitude, on va le situé un peu, histoire de savoir ou on va. Le château de Chantilly se situe à Chantilly (Oise, France dans un site remarquable de la vallée de la Nonette, affluent de l'Oise. Il faut savoir que le train part de Paris et y va directement. Il faut savoir que le château qui existe actuellement n'est plus commun avec celui de l'époque. Je tiens a précisé aussi que certaine photos que je présente sont de moi, mais que j'en ai pris d'autre sur Internet, car certaine salles étaient fermé pour cause de restauration ce jour la. Surtout les appartements.
À l'exception du « Petit Château », construit au XVIe siècle par Jean Bullant, le château actuel est une reconstruction du XIXe siècle sur des plans de l'architecte Honoré Daumet pour l'avant-dernier fils du roi Louis-Philippe Ier, Henri d'Orléans, duc d'Aumale (1822-1897, héritier du domaine, qui y installa ses collections de peintures, de dessins et de livres anciens.

 Voici ce qui nous accueille a notre arrivée, superbe non?? par contre si vous voulez y aller, mettez des chaussures bien confortable, car les pavés font vite mal aux pieds et au jambes. Sur les deux photos du bas, différentes vues.

Un peu d'histoire,
Chantilly fut d'abord une ancienne forteresse médiévale cantonnée de sept tours et entourée de douves en eau, construite sur un terrain marécageux de la vallée de la Nonette qui contrôlait la route de Paris à Senlis. Le château appartenait primitivement à Guy de Senlis, « bouteiller » du roi Louis VI à la fin du XIe siècle. La famille ajouta à son patronyme le nom de cette fonction (Bouteiller de Senlis), et conserva le château jusqu'au XIVe siècle.
Pillée en 1358 par les Jacques, la forteresse est vendue en 1386 par Guy de Laval, héritier des Bouteiller, à Pierre d'Orgemont, ancien chancelier de Charles V. Celui-ci commence la reconstruction du château en 1386 qui sera achevée en 1394, après sa mort, par son fils Amaury ; cette famille le posséda pendant trois générations du XIVe au XVe siècle
En 1484, Pierre III d'Orgemont, sans enfant, lègue Chantilly à son neveu Guillaume de Montmorency (†1531). Je m'arrêté la, pour évité de vous ennuyé.

Juste pour savoir que la puissante famille de Montmorency a possédé le château du XVe au XVIIe siècles et y fait d'important travaux de modernisation.
 Image d'archiv
e, du grand et petit château au XVIIe siècle.
Sur cette photo, outre la cour, vous pouvez apercevoir la statue du connétable Anne de Montmorency.
C'est lui qui fait rénové la forteresse en 1528.
allez on entre: Voila, ce qui compose l'entrée qui se trouve a gauche sur la photo. Pour commencé la visite, on va tout droit. Anne de Montmorency fait aussi construire en 1551, au pied de la vieille forteresse la capitainerie ou petit château. Il fait aussi construire en 1538, la terrasse, photo ci dessus. A partir du XVIIe, jusqu'au XIXe siècle, le sort de chantilly est fortement enlacé a la famille de Condé dont le château devient la demeure principale. Photo du bas, le grand escalier, appelé vestibule d'honneur.

Voici sur les deux photos ci dessus et ci dessous la galerie des cerfs.

Vous pouvez admiré cette salle avec toute les peintures que le duc d'Aumale a acheté au cour de sa vie. il est appelé le musée de condé.  Sur la photo juste au dessus vous pouvez admiré le détail de la colonne de marbre que vous voyez en arrière plan sur la photo plus haut.  Sur les deux photos du bas le cabinet des livres qui contient environ 19 000, mais le duc d'Aumale en avait environ 60 000.


allez on passe dans les appartements. Le couloir, ça va y'a de la place. Savez vous que Molière a crée au château les précieuses ridicules et a joué Tartuffe au temps ou le château respirait la splendeur et la fête. Le grand condé y scelle sa réconciliation avec le roi Louis XIV en avril 1671.
Vers la fin de sa vie, le Grand Condé charge Mansart de restaurer l'intérieur du château, puis son fils, Henri Jules de Bourbon-Condé (1643-1709), dit « Condé Le Fol », lui fait moderniser le château et dépense des sommes énormes pour enlever tout caractère médiéval à l'ancien édifice. En 1721 les travaux sont achevés par Jean Aubert. De 1723 à 1726, ce dernier construit également pour Louis IV Henri de Bourbon-Condé (1692-1740), dit « Monsieur Le Duc », les Grandes Écuries. La photo ci après montre la galerie des actions demandé par le grand condé.





Sur les photos de dessus, voici la grande singerie et le salon de musique de la duchesse (photo avec la harpe) .
 
Je passe rapidement sur tout le reste et
 fait un bon en avant pour arrivé directement au duc d'Aumale
En août 1830, à la mort du 9e et dernier prince de Condé, Louis VI Henri de Bourbon-Condé, qui passait pour être le premier propriétaire foncier de France, c'est le jeune Henri d'Orléans duc d'Aumale son petit-neveu et filleul, avant-dernier fils de Louis-Philippe Ier, qui hérite de la quasi-totalité de son énorme patrimoine, en particulier du domaine de Chantilly, du fait que son fils unique le duc d'Enghien a été fusillé dans les fossés de Vincennes sur l'ordre de Bonaparte.
Arasé au niveau du rez-de-chaussée, le Grand Château a presque disparu.

 Voici différente vue du salon violet.
 Sur les photos ci dessous, vous pouvez voir sur la légende des photos ( prise sur internet) que c'est le salon du duc d'Aumale, et qu'il y 'est accroché 42 portraits de roi et de reine.



 Sur la photo du bas
voici la chambre qui si je me souviens bien est celle d'enfant. Le portrait sur le mur est celui de la duchesse d'Aumale.


Le salon d'Orléans expose la porcelaine de Chantilly. Cet ancien cabinet de dessins du duc d'Aumale présente certaines pièces fabriquées dans la manufacture de porcelaines. En fait, il s’agit plus d’une faïence fine, très rare et de ce fait, très recherchée.
Sous la monarchie de Juillet, le duc d'Aumale projette des travaux de reconstruction qu'il ne parvient pas à mener à bien car après la chute de la monarchie de Juillet, il prend le chemin de l'exil et réside de 1848 à 1870 à Twickenham, près de Londres, où il s'y emploie à réunir de très importantes collections de livres précieux (dont 800 reliures "aux armes", 760 manuscrits, 670 incunables, 1 460 imprimés de 1501 à 1550 et 9 150 imprimés du XVIIème au XIXIème siècles), peintures, dessins et objets d'art, conservés aujourd'hui à Chantilly. Il revient en France en 1871, veuf et ayant perdu ses deux fils jeunes. Il fit deux achats massifs de livres : en 1851 pour 133 0000 francs les 3 504 volumes de la bibliothèque paternelle au château de Bizy (Eure), composée notamment de celle du bibliophile italien Melzi (que lui avait léguée son acquéreur Franck Hall Standish), puis en 1852 les "épaves" de celles du palais des Tuileries et du château de Neuilly.
De 1876 à 1882, le duc fait reconstruire le château sur les anciennes fondations, sur les plans de l'architecte Honoré Daumet et y place et enrichit encore ses considérables collections.

Voici une autre photo de la chambre, que vous pouvez admiré sous un autre angle plus haut avec le portrait de la duchesse d'Aumale. Sur la photo du bas, la salle de bain de la duchesse. Comme vous pouvez le lire, elle est ouverte sur la chambre. Voici le secrétaire qui fait partie de la chambre du duc.
deuxième photo du bas au centre le salon de Guise abrite des portraits de famille dont celui du duc d’Aumale âgé de neuf ans, soit un an après qu’il a hérité de Chantilly, et ceux de ses deux fils, Louis d’Orléans et François. Cette salle a été rebaptisée en 1872, après la mort du second fils du duc d’Aumale, François, duc de Guise. Ci contre a gauche cette ancienne antichambre, appelée tout d’abord « Salon des Condé » par le duc d’Aumale en raison du grand nombre de portraits des princes de Condé qui y sont exposés. Elle a été rebaptisée « Salon de Condé », en mémoire de Louis d’Orléans, prince de Condé, fils aîné du duc d’Aumale, mort à 21 ans de maladie lors d’un voyage en Australie.

 
Le 7 mai 1897 Henri d'Orléans, veuf et sans enfants, mourait dans son domaine sicilien du Zucco ; il avait légué cet ensemble unique à l'Institut de France en créant la Fondation des Princes de Condé en 1886, ce qu'il justifie ainsi dans son testament (3 juin 1884) :
« Voulant conserver à la France le domaine de Chantilly dans son intégrité, avec ses bois, [...], ses édifices et ce qu’ils contiennent, trophées, tableaux, livres, archives, objets d’art, tout cet ensemble qui forme comme un monument complet et varié de l’art français dans toutes ses branches et de l’histoire de ma patrie à des époques de gloire, j’ai résolu d’en confier le dépôt à un corps illustre [...] qui, sans se soustraire aux transformations inévitables des sociétés, échappe à l’esprit de faction, comme aux secousses trop brusques, conservant son indépendance au milieu des fluctuations politiques. »
« Cette maison que j'ai bâtie, où j'ai vécu, je veux qu'elle disparaisse avec moi. Non qu'elle soit démolie ni transformée radicalement (...). Aspect extérieur, silhouette, disposition générale, rien ne sera changé, mais ce ne sera plus une maison. Nul n'y habitera, hors le personnel de service dans les logements prévus par moi et aménagés selon mon désir. Ne subsisteront que la chambre de ma femme et la mienne (...). Le château ne sera plus qu'un musée et un lieu de travail. Je veux qu'y aient accès tous ceux qu'attirent des collections, des archives, une bibliothèque dont je ne crois pas qu'elles soient médiocres ».

Voici une autre salle avec les galeries de peintures.




 Le Château de Chantilly comprend une chapelle où il est possible d’admirer ce monument à la mémoire du prince Henri II de Condé. Il fut érigé en plusieurs étapes. On trouve d’abord les six figures et les bas-reliefs de bronze commandés en 1648 par le Grand Condé et installés à l’origine à Paris dans l’église Saint-Paul-Saint-Louis. Puis en 1659, quatorze bas-reliefs furent rajoutés. Sauvé de la fonte en 1791 par Alexandre Lenoir, le monument fut rendu aux Condé en 1816 et installé par le duc d’Aumale dans la chapelle du château en 1885. Photos du haut chapelle du prince Henri II de Condé.
 
Il faut savoir que le château de chantilly possède un musée du cheval
 
 Voici l'extérieur et une partie des intérieurs que vous pouvez admiré en allant visité ce magnifique musée.
Pour finir, deux images du duc d'Aumale. Un portrait de lui jeune homme et un buste signé Paul Dubois, plus âgé.

Voici que s'achève notre visite sur le château de Chantilly que j'espère avez apprécié. Je vous donne quelques renseignements si jamais l'envie vous prenait de visité se château.  
 
Voici les horaires d'ouvertures:

Haute saison

Du 26 mars au 1er novembre inclus
Ouvert 7J/7
10h-18h / 20h pour le parc
 

Basse saison

Du 2 novembre au 25 mars inclus
Tous les jours sauf le mardi
10h30-17h / 18h pour le parc
 
Le Domaine de Chantilly est ouvert les jours fériés.
 
 
Ainsi que les tarifs:

Billet Domaine

Passez une journée à Chantilly et découvrez l'ensemble du domaine avec un seul billet !
Le Billet Domaine donne accès au château, au parc, aux grandes écuries et au musée du cheval.
En bonus :
  • Audioguide gratuit (adulte / enfant) proposé pour la visite du château
  • Démonstrations de dressage (30 min) proposées par les cavalières dans les grandes écuries
Billet valable 1 an à partir de la date d’achat (en dehors des journées de privatisation suivantes : Journées des Plantes et Arts & Élégance.
Plein tarif : 17€ / Tarif réduit : 10€

Billet Parc

D'une superficie de 115 hectares le parc regroupe 3 jardins différents : un jardin à la française dessiné par Le Nôtre, un jardin anglo-chinois et un jardin anglais. Vous apprécierez ses espaces verts à perte de vue, ses fabuleux jardins et ses nombreuses animations pour petits et grands (aire de jeux, labyrinthe, enclos à kangourous...).
Billet valable 1 an à partir de la date d’achat (en dehors des journées de privatisation suivantes : Journées des Plantes et Arts & Élégance.
A l'occasion du Tour de France, tarif unique de 5€ pour le parc le dimanche 24 juillet
Plein tarif : 8€ / Tarif réduit : 5€
En basse saison de novembre à mars le tarif réduit s'applique à tous les visiteurs.

Billet Famille

Billet disponible uniquement dans nos points de vente sur place.
Un tarif unique pour les familles (2 adultes / 2 enfants) qui souhaitent visiter l’ensemble du domaine (château, parc, grandes écuries et musée du cheval).
Tarif (2 adultes / 2 enfants) : 45€

 

Spectacles équestres

 

Billet Spectacle

Donne accès aux grandes écuries, au musée du cheval + spectacle équestre. Gratuit pour les enfants de moins de 3 ans installés sur les genoux de leurs parents.
Plein tarif : 21€ / Tarif réduit : 17,50€

 

Billet Domaine + Spectacle

Donne accès à l'ensemble du domaine (château, parc, grandes écuries, musée du cheval) + spectacle équestre. Gratuit pour les enfants de moins de 3 ans installés sur les genoux de leurs parents.
Plein tarif : 30€ / Tarif réduit : 22€

 

Animations dans le parc


  • Balade en petit train (d'avril à fin octobre) :
Départs à 11h - 12h - 14h - 15h - 16h - 17h
Plein tarif : 5,5€ / Tarif réduit: 3,5€
  • Voiturettes (d'avril à fin octobre) :
9 voiturettes électriques sont disponibles à la location de 11h à 18h
7 véhicules 4 places / 2 véhicules 6 places
Tarif : 32€ / heure

 

Visite Guidée

Visite guidée des appartements privés du duc et de la duchesse d’Aumale.
Réservation à effectuer sur place.
Durée : 45 min
Tarif : 3€/personne (adulte / enfant) en supplément du billet d’entrée 
je ne vous ai pas recopié les abonnements annuels.
 
je vous retrouve le mois prochain pour le prochain rendez vous de c'est Dimanche, on visite. A bientôt

dimanche 20 novembre 2016

Prince Lestat de Anne Rice

Je tiens d'abord a remercié livraadict et les éditions Michel lafon qui m'ont permis de lire ce livre dans le cadre du partenariat


RESUME: Lestat a parcouru le monde de manière bien solitaire ces dernières années, ces compatriotes et amis l’ont cherché sans succès. Depuis quelques temps, une Voix lui parle, à lui et à d’autres vampires leur commanditant de tuer leur propre race. Récemment, Benji, le protégé d’Armand, tient une émission radio, prêchant pour le rassemblement et l’alliance de tous les vampires pour lutter contre un détracteur s’amusant à multiplier les massacres des vampires les plus jeunes. A côté de ça, Fareed et Seth, scientifiques et vampires, ont mis en place un programme de recherche sur la composition des vampires et cherchent à répondre scientifiquement à la question de « Qu’est-ce qui anime les vampires ? », ils multiplient les expériences dans ce but. Tout est lié pourtant et Lestat semble bien être le seul capable de gérer une telle crise, tous pense de la même façon, acceptera-t-il alors cette responsabilité ? et qui peut bien être cette Voix ?

MON AVIS: Dur dur d'écrire une chronique sur ce livre. Car il est très dense a lire et a décrire. J'ai été ravis de retrouvé Lestat, mais j'avoue avoir été un peu perdu avec tous ses personnages que l'on croise au fur et a mesure des pages. Heureusement, il y'a un appendice qui aide bien a suivre.
En effet, si j'ai lu entretien avec un vampire et lestat le vampire ainsi que la reine des Damnés dont j'avoue ne pas me souvenir, je n'ai pas lu les autres tomes de la série et celui ci est le 11eme.
Bref, on retrouve Lestat quand même bien différend du souvenir que j'ai gardé de lui, quoi que. J'avoue que je me rappelle beaucoup plus de Entretien avec un vampire que de Lestat. J'avoue que si je l'ai détesté dans le premier tome, je l'ai plus apprécié dans Lestat et dans celui ci. Je l'ai trouvé plus humain si j'ose dire.
Dans ce livre, on alterne les chapitres ou Lestat est le narrateur et les autres chapitres ou on découvre ou redécouvre tous les personnages qui gravite autour de notre vampire bien connu! Et on s'attache plus a la genèse des vampires avec une mystérieuse voix qui présente dans la tête de tel ou tel vampire et qui arrive a les persuadé de faire tel ou tel action selon son bon plaisir.
Comme je le disais plus haut, j'ai eu un peu de mal a le lire car, dur de s'y remettre après tout ce temps dans l'histoire de ses chroniques. J'ai eu l'impression quand même que l'auteur s'éparpillait un peu, mais je me suis vite rendu compte qu'en faite, elle savait très bien ou elle allait.
Pour etre franche, j'ai aimé et pas aimé en même temps: Aimé car on retrouve l'atmosphère qui ont fait que les chroniques sont ce qu'ils sont, parce qu'on retrouve note cher Lestat, qu'on a pleins de réponses aussi. Et pas aimé parce que j'ai été un perdu, j'ai eu aussi du mal avec tous ses détails mais je pense que c'est parce que j'ai loupé pleins de tomes. Pourtant, la narration de Lestat, nous aide a quand même savoir ce qui c'est passé avant.
Ce livre est une bonne histoire et je regrette d'avoir eu ce petit manque qui ne m'a permis d'apprécié ce livre comme il l'aurait fallu. Je le recommande pourtant chaleureusement, mais lisez les autres tomes avant. Les deux images de dessous sont un petit clin d'œil a Lestat