lundi 27 juin 2016

L'echange des princesses de Chantal Thomas

RESUME: En 1721, Philippe d’Orléans est Régent, dans l’attente que Louis XV atteigne la maturité légale. L’exercice du pouvoir est agréable, il y prend goût. Surgit alors dans sa tête une idée de génie : proposer à Philippe V d’Espagne un mariage entre Louis XV, âgé de onze ans, et la très jeune Infante, Maria Anna Victoria, âgée de quatre ans, qui ne pourra donc enfanter qu’une décennie plus tard. Ce laps de temps permet l’espoir d’un "malheur" qui l’assiérait définitivement sur le trône de France… Et il ne s’arrête pas là : il propose aussi de donner sa fille, Mademoiselle de Montpensier, comme épouse au jeune prince des Asturies, futur héritier du trône d’Espagne, pour conforter ses positions. La réaction à Madrid est enthousiaste, et les choses se mettent vite en place. L’échange des princesses a lieu début 1722, en grande pompe, sur une petite île au milieu de la Bidassoa, la rivière qui fait office de frontière entre les deux royaumes. Tout pourrait aller pour le mieux. Mais rien ne marchera comme prévu. Louis XV dédaigne l’Infante perdue dans l’immensité subtile et tourbillonnante du Louvre et de Versailles ; en Espagne, Mademoiselle de Montpensier ne joue pas le jeu et se refuse à son mari, au grand dam de ses beaux-parents Philippe V et Elisabeth de Farnèse. À la fin, un nouvel échange a lieu, beaucoup plus discret cette fois : chacune des princesses retourne dans son pays…

MON AVIS: Cela faisait un moment que j'avais ce livre dans ma pal. Et je me suis enfin décidé a le sortir. J'avoue que si l'histoire m'a plu, je ne peux pas en dire autant de l'écriture et du style de l'auteur. J'ai eu l'impression de lire un article de journal pendant tout le livre. Pourtant, j'avais déjà un peu se style dans le précédent livre lu : "une si jolie petite fille"  et cela ne m'avait pas gêner. Mais la, j'avoue que j'ai eu énormément de mal a rentré dedans. L'histoire en elle même est très bonne. C'est un fait historique et pas du tout une fiction. Cela parle de l'époque ou le roi de France Louis XV est âgé de 11 ans et qu'on cherche pour lui une épouse, ce sera Maria Anna Victoria, infante d'Espagne qui n'a que 4 ans. Le pays est en régence avec Philippe d'Orléans, neveux de feu le roi Louis XIV.
Comme vous le savez, j'adore l'histoire et cette partie que je connaissais peu, m'intriguais beaucoup. Car, en faite ses deux princesses ne sont que des pions sur l'échiquier politique. Hélas, comment c'était souvent le cas a l'époque .  Mais avec le style de l'auteur, il y'a un manque de fluidité. Pourtant, on sent que l'auteur métrise son sujet et a fait un merveilleux travail de recherche. Mais entre le coté documentaire et le travail d'écriture, l'auteur donne a son livre un coté trop rigide et alourdit. Dommage!!

dimanche 26 juin 2016

C'est dimanche on visite...

















Et voila de nouveau la fin du mois et avec le retour du rendez vous de c'est Dimanche on visite... Comme vous le savez, c'est un rendez vous mensuel ou je vous emmène visité un lieu chargé d'histoire ou d'architecture, un trésor de notre patrimoine. Je tiens d'ailleurs a vous remercié pour les commentaires élogieux que vous adressez sur ce rendez vous. Il est vrai que si c'est un travail conséquent, mais comme beaucoup me le dise, c'est une passion chez moi et un véritable plaisir de préparer ce rendez vous qui me tient a cœur.

Ce mois ci je vous emmène dans la dernière demeure de Leonard de Vinci, le clos Lucé a Amboise.  


Comme d'habitude, on commence cette visite par un repaire historique et géographique.
Le château du Clos Lucé, appelé autrefois le manoir du Cloux, est une demeure située en France, dans le centre ville d'Amboise au cœur du Val de Loire, Patrimoine mondial de l'Unesco. C'est là que Léonard de Vinci, invité par François Ier, vécut trois ans, de 1516 à sa mort le . Il a été construit en 1500.
En tant que maison de Léonard de Vinci, il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862. Voila pour les repaires. Sachez aussi que ce château est situé a environ 400 mètre ( d'après les sources). Pour ma part, l'ayant fait en vacance l'an dernier, il est a plus de 400 mètre a pied. Tout en monté, dur les jambes. !! Bref, son élégante façade de brique rose porte la marque typique du XVe siècle.

 Voici trois vue du château
 

 Vu la position que j'ai prise pour photographié le château, derrière moi, il y'a le parc du château que je vous montre ensuite.
Comme je disais plus haut, Léonard de Vinci y 'a vécut les trois dernières années de sa vie, en travaillant a ses milles passions et en peignant. A 64 ans il traverse les alpes a dos de mulet pour venir avec quelques disciples. Il a dans ses sacoches trois pentures: La Joconde, La Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne et Saint Jean Baptiste

 Vous pouvez admiré sur la photo de gauche et celle du bas, la chambre de Leonard, d'où de sa fenêtre, il aimait apercevoir le château d'Amboise de son ami François Ier. Il y fit son testament le 23 avril 1519, léguant ses manuscrits, carnets de dessins, croquis a don disciple favori Francesco Da Melzi. Il mourut dans cette chambre a 67 ans après avoir reçu les derniers sacrements.

 
  Je profite de vous avoir parlé de la mort de ce grand homme pour rebondir sur ce tableau peint par Jean Auguste Dominique Ingres, ne tient pas compte de la réalité, car en faite le roi n'était pas présent a sa mort.
 
Je fais ici un petit retour en arrière par rapport a ce château. Pour être un peu plus précise au niveau historique, je vous raconte un peu son "avant" Leonard de Vinci.
Le Chastelet du Cloux était un ancien fief relevant du château d'Amboise La terre de Lucé a été annexée au clos dès le XIVe siècle. Par acte du 26 octobre 1460, Pierre du Perche céda à Marc Rabouin le lieu du Cloux et reçut en échange la Grange-aux-Lombards.
Ce domaine passe peu de temps après aux mains des religieuses du prieuré de Moncé qui le vendirent, par acte du 26 mai 1471, à Étienne le Loup, maître d'hôtel et premier huissier d'armes, puis conseiller du roi Louis XI et bailli d’Amboise. Les bâtiments tombant en ruine, c'est lui qui donna au Clos Lucé son aspect actuel, avec « sa tour carrée, sa guette, reliée à l'aile droite du bâtiment par une galerie couverte, (...) ses murs bientôt percés de fenêtres gothiques ».
Le logis s’organise autour d’une tour d’angle octogonale abritant un escalier à vis entouré de deux bâtiments à 2 étages construits en équerre. L’élégante façade de briques roses et de pierre de tuffeau porte la marque architecturale du XVe siècle.
Le 22 novembre 1490, Charles VII racheta le Clos Lucé à Étienne Le Loup pour la somme de 3 500 écus d’or. Charles VIII transforme la forteresse médiévale en château d’agrément.Le château devient alors la résidence d’été des rois de France. Charles VIII y fit construire un oratoire pour son épouse, Anne de Bretagne qui y vécut jusqu'à son départ pour le château royal de Blois. L'oratoire contient des peintures murales réalisées par la suite, par les disciples de Léonard de Vinci : une Annonciation, un Jugement dernier et une la Vierge de lumière située au-dessus de la porte, qui aurait donné son nom au Clos Lucé.
Charles IV d'Alençon et Marguerite de Valois s'y installèrent en 1509. En 1515, le duc d'Alençon vendit le Château du Clos Lucé à la mère de François Ier Louise de Savoie
Louise de Savoie, régente de France, y vécut et éleva ses deux jeunes enfants, le bouillant Duc d’Angoulême, futur François Ier, et Marguerite de Navarre, femme de lettres et auteur de l’Heptaméron.
 
 Voici l'oratoire d'Anne de Bretagne. cette chapelle a été commandé par Charles VIII a la fin du XVe siècle pour son épouse Anne de Bretagne. Sur les deux photos du bas, vous pouvez voir la chambre de Marguerite de Navarre, sœur de François Ier. Pour la petite histoire, sachez qu'elle a eu une fille, jeanne qui fut la mère du futur Henri IV
 
Nous pouvons revenir a Leonard de Vinci.
 Voici une vue du carrelage du château et en bas, une des nombreuses maxime du grand homme.

 Sur la photo ci contre, la grande salle et sur celle du bas, celle de la cuisine. Pour info, sachez que sa cuisinière se nommait Mathurine, que Leonard était végétarien et qu'a sa mort, il lui lègue son manteau de beau drap noir garni de cuir.
 
Je vous emmène maintenant au sous sol, qui est une salle dédié aux inventions de Léonard ( salle des maquettes). IL y'a 40 machines qui ont cinq siècles d'avance, tellement elles sont bien pensé. Entre autre, il avait inventé le premier char d'assaut, le premier hélicoptère, le parachute et l'automobile, rien que ça. Les maquettes exposé ont été realisé par IBM, d'après ses dessins. Il y'a aussi des animations en 3D qui permettent de visualiser comment elles fonctionnent
 Sur la photo du bas, on peut voir l'entrée d'un souterrain secret. D'après la légende, il rejoindrait le château d'Amboise et François Ier l'empruntait souvent pour rejoindre Léonard de Vinci.
Je vais vous emmener dans le parc du château qui est un endroit magnifique, a tout point de vue. Déjà, sachez que ce n'est pas qu'un simple parc: Un parcours culturel a été mis en place dans le parc du Château du Clos Lucé en 2003 par Jean Saint Bris, avec des bornes sonores et 20 machines géantes inspirées de ses croquis. Un jardin présente les travaux de Léonard sur les plantes, ainsi qu'un pont à deux niveaux, récemment réalisé d'après un croquis de l'artiste.
Tout d'abord voici la roue a aube sur la photo en bas a droite
 





 Ensuite, première photo de gauche, un canon et un char, plus bas,  l'hélicoptère, a gauche. Sur la photo ci dessous Le pont à deux niveaux. Sur les deux photos du bas a droite le pont transportable et a gauche le jardin de Leonard.


 

 
Je ne vous montre que quelques photos qui jalonnent ce parcours du jardin. Sachez que pendant cette balade, vous entendrez des citations de léonard en plusieurs langues
 
Pour finir cette visite au clos Lucé, je vous montre quelque peintures bien connu de cet immense  qui était tellement en avance sur son temps. Bien sur vous connaissez la Joconde, que vous pouvez voir au musée du Louvre a Paris. Sachez qu'il y'a une copie au Clos Lucé. Un célèbre portrait de Leonard qui a été fait par lui même. En bas la célèbre cène qui a tant fait jaser ( dernier repas de Jésus avec les apôtres) qui se trouve a l'église a Santa Maria delle Gracie de Milan.


C'est sur ses magnifiques tableaux que se termine cette balade. Pour finir quelques renseignements utile: 2, rue du Clos Lucé
37400 Amboise
Val de Loire
France
Tél. :  02 47 57 00 73
et le tarif est 15E par adulte, en haute saison et 13 en basse, les enfants de 7 a 18 ans 10E 50 en haute et 10 en basse. Gratuit pour les moins de 7 ans. Voila, au mois prochain

samedi 25 juin 2016

Une si jolie petite fille, les crimes de Mary Bell de Gitta Sereny

RESUME: En 1968, à Newcastle, une fillette de 11 ans assassine deux enfants de 3 et 4 ans. Considérée par toute la Grande-Bretagne comme un être démoniaque, la petite fille, vive, jolie, exceptionnellement intelligente, est jugée comme une adulte et emprisonnée.
Près de trente ans plus tard, alors que, sortie de prison à sa majorité, mère de famille, Mary essaie de refaire sa vie, Gitta Sereny la retrouve et la convainc de rouvrir avec elle, dans de longs entretiens, le dossier de ses crimes. Toute la vie de Mary défile. Elle la revit à mesure, plonge dans les semaines qui ont conduit à la tragédie, puis dans ses années de captivité, raconte cette histoire qui est aussi l’histoire d’une lente reconstruction, d’une sortie progressive de l’horreur – celle dont elle s’est rendue coupable et celle dans laquelle sa mère l’avait plongée dès sa petite enfance, ce cauchemar que Mary, arrivée au bout d’elle-même, pourra enfin regarder en face.
Peut-on affronter sa propre monstruosité ? Comment pardonner, comment se pardonner ? Qu’est-ce que la nature humaine, qu’apprend-on à son sujet au travers des êtres terribles qui semblent l’avoir un jour trahie ? Gitta Sereny porte à son degré d’incandescence l’obsession de la vérité, et fait d’Une si jolie petite fille un grand livre sur le mal et la rédemption, d’une force et d’une profondeur qui donnent le vertige.

MON AVIS: En lisant ce livre au commencement, j'ai pensé lire un témoignage comme celui de 3096 jours le livre de Natasha Kampuch. Et bien non! c'est en faite l'auteur qui interroge Mary et l'on a donc ce que raconte l'auteur et les témoignages de Mary et d'autre personnes qui l'ont côtoyé. Ce livre est prenant pour ne pas dire passionnant. J'ai beaucoup aimé le style, qui s'il peut paraitre un peu déroutant, laisse quand même une lecture fluide. Au début, j'avoue que j'étais outré par ses crimes. Comment une enfant peut faire ça, a 11 ans?? En lisant le fil de sa vie, je l'ai un peu plus comprise. Bon je ne lui cherche pas des excuses, loin de la. Ce qu'elle a fait est atroce, mais sa vie, n'a pas été mieux. Je pense pouvoir dire que finalement, les années après le jugement, ont été mieux pour elle. Je dois reconnaitre, que tous les enfants battu, violé et voir pire, ne deviennent pas des tueurs qu'ils soient enfants ou adulte. On ne peut pas s'empêcher de s'attacher un peu a elle. Ce livre est une retranscription des entretiens de Mary avec l'auteur. Par contre, un moment qui m'a choqué c'est le procès: on la juge comme un adulte, j'ai trouvé ça révoltant. Bon, il est vrai que ses crimes sont révoltant aussi! Mais, on comprend bien que notre justice n'est pas adapté pour ce genre de crime. Ce livre invite aussi a se poser des questions. Ce livre n'est pas un roman, mais un fait réel. Et un livre qui m'a passionné de bout en bout.

dimanche 19 juin 2016

Les reines au temps des Valois, tome 1: le beau XVIe siècle de Simone Bertière

RESUME: Quelle place était faite aux reines dans la France régie par la loi salique ? Epouses ou mères du roi régnant, vouées à la seule procréation ou associées au gouvernement, timides ou impérieuses, elles offrent dans leur diversité une image contrastée de ce que fut leur condition. Après le " beau XVIe siècle ", où elles concourent au rayonnement de la monarchie mais n'accèdent que rarement aux responsabilités, voici les " années sanglantes ", dont l'horreur culmine à la Saint-Barthélemy : trente-cinq ans de guerres civiles, alimentées par les ambitions nobiliaires et le fanatisme religieux, tandis qu'agonise la dynastie des Valois. Pour les cinq ici concernées, la vie privée est désormais indissociable des péripéties qui déchirent la France. Trois d'entre elles sont entrées dans la légende. Omniprésente, la reine mère Catherine de Médicis, que le veuvage métamorphose en homme d'Etat, dirige le royaume au nom de ses fils. Elle pèse de tout son poids sur le destin des autres. Sa première bru, Marie Stuart, et sa plus jeune fille Marguerite de Valois - la fameuse " Margot " - se brûlent aux feux de l'amour et de la politique. A côté d'elles, la douce Elisabeth d'Autriche ne compte guère. Mais Louise de Lorraine, épouse aimante et aimée de Henri III, est à redécouvrir. Adoptant tour à tour le point de vue de chacune d'elles, mais scrupuleusement fidèle à l'histoire, ce récit vif et animé tente de ressusciter la tragédie des guerres de religion, mais aussi d'en démonter les ressorts et de mettre en lumière le rôle qu'y jouèrent les femmes. --Ce texte fait référence à l'édition Broché .

MON AVIS: J'ai découvert cette auteur en regardant l'émission de Stéphane Bern, Secrets d'histoire. Vous connaissez mon amour de l'histoire et bien sur j'ai été enchanté de cette lecture. L'auteure, donne la première place aux reine de France, trop souvent dans l'ombre, sauf certaine, comme Catherine de Médicis, qui fut la reine la plus connue de ce XVIe siècle. Ce livre est un véritable ouvrage historique, précis, concis et très bien écris. De plus, elle m'a passionné pour ses reines qui sont trop peu connu, juste de nom. A peine sait on de quoi elles sont morte. On découvre une foule de détail sur ses reines, leur vie. On apprend par exemple qu' a part faire des héritiers, elles ne servaient qu'a faire jolie si je puis dire. Exception faite, ou cette ouvrage ne parle que des reines, l'auteure dresse le portrait de deux femmes exceptionnelle, qui ne furent jamais reine mais eurent un destin hors du commun: Louise de Savoie, mère de François Ier et Diane de Poitiers, maitresse de Henri II. On sent l'auteure passionné par son sujet et qui cherche a redonné une vraie place a ses reines qui sont souvent les grandes oubliés de l'histoire. Un livre qui se lit comme un roman. Simone Bertière a fait un énorme travail de recherche pour nous livre une foule de détails, sans jamais nous ennuyer. Un livre passionnant, qui pourra en plaire a plus d'un qui même si, vous n'etes pas un passionné d'histoire, pourra vous comblé par sa justesse, et ses détails qui s'ils fourmillent, ne sont pas ennuyeux et trop lourd. Vite le tome 2

mardi 7 juin 2016

Secrets d'outre tombe de Kathy Reich

RESUME: 2001. Guatemala. Le petit village montagneux de Chupan Ya est le théâtre d'une étrange cérémonie: l'exhumation des squelettes de femmes et d'enfants massacrés par l'armée lors de la guerre civile qui ravagea le pays vingt ans auparavant... Appelée en renfort par une organisation humanitaire, l'anthropologue judiciaire Tempérance Brennan supervise les fouilles. Une tâche d'autant plus macabre que cette découverte semble faire écho à celle, beaucoup plus récente, du cadavre putréfié d'une jeune fille gisant dans une fosse septique de la capitale guatémaltèque. Y a-t-il un lien entre ces deux affaires ? Malgré les tentatives d'intimidation et la pression des autorités locales, Tempe se jette corps et âme dans une double enquête riche en surprises et en rebondissements sanglants...
MON AVIS: 3e aventure du Dr Brennan que je lis! Je dois avoué que si j'ai aimé celui ci, je ne l'ai pas adoré non plus. Je m'explique: Pour commencé, on rentre direct dans l'histoire. Ce qui pourrait apporté un point positif, mais je n'ai pas apprécié comment cela commence. Par une interview avec une femme du Guatemala. On se demande ou l'auteur veut en venir, il faut quelques pages pour commencé a comprendre, j'avoue ne pas être adepte de ce genre de pratique. De plus, j'avais un peu l'impression de me mélangé les pinceaux avec les deux enquêtes en parallèle de ce livre. Je trouve que d'habitude, l'auteur sépare bien les deux quand cela arrive, mais que la on sait plus qui, quoi. Sinon l'enquête est bien mené et le suspens au rendez vous. Comme souvent, Brennan arrive a se mettre dans des situations impossible et s'en sortir sans problème ( enfin presque). Ce qui m'emmène au deuxième point noir de ce livre: la fin! J'ai trouvé qu'elle manquait un peu de réalisme et que l'auteur a choisis la facilité. Par contre, un gros plus pour le réalisme de ce qui se passait au Guatemala dans les années 60 a 90. L'auteur connait bien son sujet! Bref, pour ma part, celui ci n'est pas le meilleure de la série, mais cela ne m'empêchera pas de lire les autres que j'ai dans ma pal.
 

dimanche 5 juin 2016

Harry potter, tome 1: a l'école des sorciers de J.K. Rowling

RESUME: Le jour de ses onze ans, Harry Potter, un orphelin élevé par un oncle et une tante qui le détestent, voit son existence bouleversée. Un géant vient le chercher pour l'emmener à Poudlard, une école de sorcellerie ! Voler en balai, jeter des sorts, combattre les trolls : Harry se révèle un sorcier doué. Mais quel est le mystère qui l'entoure ? Et qui est l'effroyable V..., le mage dont personne n'ose prononcer le nom ? Amitié, surprises, dangers, scènes comiques, Harry découvre ses pouvoirs et la vie à Poudlard.

MON AVIS: Qui ne connait pas les aventures du petit sorcier a lunettes et de ses amis Hermione et Ron? Bien que comme dirait certains, ses livres sont presque devenus des classiques, et bien que j'ai vu les films, bon il y'a un moment maintenant, je n'avais encore jamais tenté l'aventure littéraire. Je dois avoué qu'ayant vu les films, cela me faisait un peu peur, car en générale, je lis  les livres et voit le film bien après. La j'ai fais l'inverse. A part le premier que j'ai vu plusieurs fois, les autres je ne les ai vu qu'une seule fois et encore, je crois que je n'ai pas vu le prince de sang mêlé. Bref, ce n'est qu'un détail! Revenons au présent ouvrage: Ce livre est un petit bijou, pour ceux qui aiment la fantasy, le rêve, la magie et les créatures magique. Ils posent les bases qui vont faire l'histoire et toute la saga. Ce premier tome est peut être un peu jeunesse, mais cela ne m'a pas gêné du tout, au contraire, il apporte un petit vent de fraicheur qui fait que même les adultes, retrouvent un peu de leur enfance grâce a ce livre qui fait un peu pensé au conte d'autre fois. Moi en temps qu'adulte, j'ai plusieurs fois les yeux qui brillaient comme a Noël avec les lumières, les magasins etc.. Et un peu d'enfance dans ce monde de brute, cela ne peut pas faire de mal, non? J'ai rencontré tous personnages que l'on connait tel que Rogue qu'on adore détesté mais en même temps que l'on pleins un peu; Dumbeldore et sa bienveillance,  Malfoy a qui on mettrait des claques et tout les autres que je verrais au fur et a mesure des tomes. Une saga haut en couleur et pour qui je n'éprouve qu'un seul regret: ne pas l'avoir lu plutôt.

jeudi 2 juin 2016

La verité sur la tragédie des Romanov de Marc Ferro

RESUME: La tsarine et les archiduchesses ont survécu ! Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918, dans l’Oural, le tsar Nicolas II, sa femme et leurs enfants – Olga (22 ans), Tatiana (21 ans), Marie (19 ans), Anastasia (17 ans), et Alexis, le tsarévitch (13 ans) –, sont exécutés par les bolcheviks. Cette version officielle, Marc Ferro n’y a jamais cru. Documents à l’appui, avec la rigueur du grand historien, il remet en cause l’assassinat des Romanov. Des juges ou des témoins morts subitement ou exécutés, des documents tronqués, des pièces du dossier d’instruction subtilisées, des tests ADN controversés, le mettent sur la piste d’une hypothèse inavouable et sacrilège : les filles et la tsarine ont été sauvées grâce à un accord secret conclu entre les bolcheviks et les Allemands. Elles se sont tues pour ne pas ébruiter leur sauvetage. Seul le sort du tsarévitch, Alexis, reste inconnu, faute de sources.

MON AVIS: Ce livre nous donne une analyse intéressante sur "la mort des Romanov". Si les explications sont claire et que j'ai beaucoup aimé ce livre, je dois avoué que je ne suis pas entièrement convaincue sur sa vérité. Après, je me dis pourquoi pas, mais il y'a quand même beaucoup de zone d'ombre qui reste dans le noir et qui aurait mérité une peu plus d'éclaircissements. Des analyses  ADN notamment! Il est vrai que des test ADN avaient été faite sur les dépouilles retrouvé, mais arrosé de chaux et avec le gouvernement qu'ils avaient, on peut douté. J'ai bien aimé ce livre, mais je trouve qu'il manque pas mal de preuves concrète. Pour ma part, j'ai un peu de mal a avalé l'histoire, même si c'est plausible mais, les preuves ne sont pas irréfutable. Mais je pense que comme dans toute les grandes énigmes de l'histoire, on ne saura jamais vraiment. Sinon, le livre est bien tourné et se lis assez facilement. De plus il est court: 177 pages, le reste n'étant que du document. Je regrette seulement que si l'auteur essaye de nous imposé sa théorie, il nous laisse beaucoup de questions sans réponse. Après, en lisant ce livre chacun se fera sa propre opinion!!